Pain-killer

Avec des si, on refait le monde. Je ne peux pas m'empêcher d'en avoir plein dans la tete. Des doutes par milliers, des peurs et des angoisses. Mon futur ne sera pas ce que j'espérais. Et je n'arrive toujours pas à prendre une vraie décision et à m'y tenir. A chaque fois, je doute, je remets tout en cause et je pèse le pour et le contre. C'est bizarre d'ailleurs comme le pour l'emporte souvent et pourtant je n'ai toujours pas osé prendre le rendez-vous. Il serait peut-être temps que j'accèpte d'abandonner certains de mes rêves, pour mon bien. 

Edit 02/11 : J'ai pas le droit d'avoir mes problèmes, pas le droit d'en parler, pas le droit d'y penser. Parce qu'il y a les autres qui ont pire, parce qu'il y a ceux qui pensent avoir pire, parce que rien n'a changé, parce que c'est juste moi qui les ressasse. J'ai pas le droit de douter, pas le droit d'y penser quand les autres comptent sur moi.

Edit 27/11 : what if i'm never gonna be able to have my own kids? i know myself perfectly, seeing children everyday, getting attached to them will be way to heavy for me to carry. How will i ever survive that without becoming like CC. I mean have you seen her? I'd rather become nuts than like her.

Edit 27/11 : and once again, wondering if it's because of me or because of my so called friends. am i the problem or are they? why? why do they all forget about that kind of stuff? do they really think it doesn't hurt?

Au cas où t'aurais pas remarqué, on est tous dans la même merde pour le concours. Mais bon ça ne m'étonne pas finalement puisque depuis 1 an je n'ai plus aucune importance. Je vais aller me jeter d'un pont sa te fera moins d'effets que quand tu casses un verre au final. Et quand les enfants te diront un truc qui te plait pas, tu les supprimeras comme tu as supprimé mon commentaire? Bah belle pédagogie, bravo. Heureusement que tu l'as pas eu en fait.

And then what? Felling like everything is falling down. NOT HIM  *Dad*

RELIEVED

Un(e) autre, qui passe avant moi. What's so wrong with me? What did I do wrong?

Un seul, qui comptait, avec qui ça n'a pas été le cas. I'm so mad at you, and at myself. At you, because for the first time ever, you listened to me. Mad at me, because as always I put you first? And in a way, it's all my fault. I pushed you into his arms, and I even gave you my blessing to destroy my heart.

Je dis que tout va bien quand tout va mal

Je souris quand je suis triste

Je remonte le moral aux autre quand je ne l'ai pas.

C'est super d'être la psy de tout le monde, mais moi dans tout ça?

C'est bête mais le fait d'avoir parlé d'elle, d'envisager vendre les affaires mine de rien: AOUCH, comme on me l'a si bien dit. Je savais très bien que jamais je la rachèterai et pourtant je cogite, je ne peux pas m'empêcher d'espérer. Et ça fait mal parce que d'ici que j'ai les moyens, elle ne sera surement même plus là.

Bordel c'que ça fait mal. Moi qui me moquait des gens qui accordaient tant d'importance aux animaux jme prends deux claques dans la tête. Ne pas la voir, je peux. Ne plus la monter, je peux. Mais ne pas savoir ce qu'elle devient, savoir seulement que des gamins passent encore leur temps à lui tirer sur la tête, ça je peux plus.

Jsais pas jdois être mazo, à passer la nuit à chercher les pensions, les prix, à voir combien de temps je tiendrais avec les sous que j'ai sur mon compte. A voir comment la rapatrier ici. Ouais, c'est le mot, complètement MAZO. Mais merde aussi, pourquoi eux et pas moi? Avec tout ce que j'ai galéré, je demande juste de pouvoir lui donner une belle vie. Une belle fin de vie en tout cas.

I can't do that anymore.

I can't pretend I'm okay with you being with him.

I can't pretend I don't miss you.

I can't pretend I'm happy for you.

I can't pretend I'm glad we're not talking anymore

I can't even pretend I don't care thar we're not talking

I can't stand seeing you online night after night.

I can't take that kind of decision so early in my life

I can't even take it alone

I can't stand having noone to talk to about this

I can't do all that with noone to count on.

AH putain ça me manquait pas ce sentiment pourri. envie d'y retourner, pas à ma place, ils me manquent.ET MERDE. J'avais trouvé une solution, j'avais réussi à m'en sortir, à retrouver quelque chose de bien ici. 4 jours après et jme prends le retour en plein gueule. Marre d'ici, je pète un cable. Toujours la même chose qui me donne envie de rentrer, toujours LES mêmeS choseS

Le problème quand tu as une maladie, génétique ou autoimmune, c'est que tu l'as toute ta vie. Tu crois que tout va bien, que c'est rentré dans l'ordre, que même si tu ne peux pas la guérir tu as su la controller. Seulement, cette maladie, c'est une pétasse vicieuse, qui revient quand tu t'y attends le moins. D'abord la fatigue, ensuite la bouffe et le poids qui augmente inexorablement et enfin, la dernière attaque, la plus sadique, la douleur.

Et maintenant je fais quoi?

Changer encore de traitement oui pourquoi pas, mais pour l'instant je change tous les ans alors c'est pas franchement top. Prendre l'opium provisoirement pour stopper la douleur? Moyen, je risque de devenir accro. Sinon ben je dors plus, je mange plus, mais je tiendrais combien de temps à ce rythme avant de finir à l'hosto?

Edit 10/04: réagir oui mais à quel prix? s'endormir tous les soirs avec des crampes à l'estomac et l'impression d'avoir un poignard planté dans chaque ovaire. Mais finalement, on s'endurcit à tout, même à la douleur. J'espère juste que je perdrais pas mon coeur dans l'histoire.

Edit 17/04: 2 jours sans presque rien manger de solide, le corps qui tient bien pour l'instant, les progrès commencent à se voir. Il ne me reste plus qu'à espérer que je vais rester dans cette optique, plus motivée que jamais, je m'accroche.

Edit 28/04: tous ces efforts ruinés par 5 jours. Je ne laisse pas tomber, je vais redoubler d'efforts, j'y arriverais. Plus de bouffe, du sport, plusieurs heures si il faut. Je ne lacherai pas.

Edit 04/05: incapable de garder les yeux ouverts, on me parle et je ne comprend plus rien. Youpi, j'adore être malade.

You're gettin' me SO mad. You just push my buttons, one after another, not even realising it. And you are clueless about my life right now. But this time, I told you, you were just not listening. How do you think that feels like? Especially right now. So thanks for being such an ASS.

Edit 28/04: L'impression que tu t'es bien foutu de ma gueule une fois de plus. Que tu m'as encore bien eue. Tu vis grâce aux mensonges et c'est bien triste.